Si tu restes dans un environnement de travail toxique, ce n’est pas parce que tu es faible ou que tu manques de volonté. C’est ton cerveau qui, par instinct de survie, te protège du saut dans l’inconnu. Il t’empêche de te projeter, parce qu’il pense que rester dans ce que tu connais est moins risqué que l’inconnu. 👉👉 Ma conférence arrive sur la Grande Motte près de Montpellier et Nîmes. Comment ne pas laisser ton cerveau décider à ta place ? Burnout, anxiété, résilience et bien d’autres sujets seront abordés, avec une équipe incroyable dont je dévoilerai bientôt les noms, des surprises et des intervenants exceptionnels. La billetterie est ouverte ☺️ Voici le lien de la billetterie ☺️ https://my.weezevent.com/conference-ton-cerveau-decide-a-ta-place-michel-khoury
🔥 Tu ne dois pas rester seul. Pas maintenant. Pas comme ça. Si tu traverses une dépression, un burn-out, une tempête intérieure… sache une chose : rester seul, c’est dangereux. Tu crois peut-être que tu peux t’en sortir seul. Que c’est une question de volonté. Que ça passera. Mais non. Pas cette fois. 🔻 Ce que tu vis est profond. Invisible pour les autres, mais violent à l’intérieur. Et plus tu restes seul, plus tu t’éloignes de toi-même, plus tu t’enfonces. 👉 Ce n’est pas un manque de force. C’est un signal d’alerte. Ton corps, ton esprit, ton cœur te disent STOP. Tu as besoin d’aide. De professionnels. D’un entourage qui t’écoute vraiment. Tu dois te faire accompagner, te faire entourer, te faire relever. 💬 Ce que tu ressens aujourd’hui ne définit pas ta vie. Cette période n’est pas ta destination. C’est un passage. Et tu vaux infiniment plus que ce que tu crois dans les moments où tu doutes de tout. Tu n’es pas faible. Tu es humain. Alors tends la main, même si c’est difficile. Parle. Pleure. Demande. Mais ne reste pas seul. Ta santé est précieuse. Ton équilibre compte. Et tu n’as pas à porter ce poids sans soutien. 🧠 Il existe des spécialistes, des thérapeutes, des gens formés pour t’aider. Va les voir. Prends ce rendez-vous. Ose. Tu le mérites. Parce que ta vie vaut la peine d’être vécue pleinement, pas en survie.
La plus grande erreur qu’un patron puisse faire, c’est d’attendre qu’un salarié vienne demander une augmentation. Quand un collaborateur doit quémander la reconnaissance qu’il mérite, c’est déjà trop tard. Un bon dirigeant n’attend pas. Il observe. Il anticipe. Il sait lire l’engagement, la loyauté, l’impact. Il récompense avant que la lassitude ne s’installe. Valoriser ses équipes, ce n’est pas un bonus. C’est une stratégie. Parce que recruter, c’est bien. Mais garder ses talents, c’est mieux. Et ça commence par une chose simple : le respect de leur valeur, avant qu’ils n’aillent la faire reconnaître ailleurs.
Ce sont des âmes calmes. Douces, discrètes, presque invisibles parfois. Elles sourient avec sincérité, donnent sans compter, et t’accueillent avec une bienveillance rare. Mais ne t’y trompe pas : leur silence n’est pas faiblesse, c’est maîtrise. Ces personnes-là aiment profondément, mais une fois blessées, elles ne mendient pas l’attention, elles tournent la page sans bruit. Pas de cris, pas de drame. Juste un vide. Si tu les perds, tu ne fais plus partie de leur histoire. Elles t’ont donné le meilleur… mais elles savent disparaître pour toujours.
Pourquoi tu n’arrives pas à partir d’un pervers narcissique ? Parce que ton cerveau est piégé entre peur, espoir et dépendance. Ce n’est pas une question de volonté, c’est une réaction biologique. 👉 Pour t’en libérer, tu dois : 1. Couper tout contact (même les réseaux). 2. Apaiser ton système nerveux (respiration, mouvement doux, silence). 3. Revenir à la réalité (écris ce que tu vis, relis les faits). 4. Te reconnecter à des relations stables et saines. C’est comme une désintoxication. Ce n’est pas facile, mais c’est possible. Et ça commence maintenant.
Si tu restes dans un environnement de travail toxique, ce n’est pas parce que tu es faible ou que tu manques de volonté. C’est ton cerveau qui, par instinct de survie, te protège du saut dans l’inconnu. Il t’empêche de te projeter, parce qu’il pense que rester dans ce que tu connais est moins risqué que l’inconnu. Mais ce mécanisme de protection devient un piège. Tu t’épuises, tu t’éteins, et tu culpabilises en plus de souffrir. Ma conférence arrive sur la Grande Motte près de Montpellier et Nîmes. Comment ne pas laisser ton cerveau décider à ta place ? Burnout, anxiété, résilience et bien d’autres sujets seront abordés, avec une équipe incroyable dont je dévoilerai bientôt les noms, des surprises et des intervenants exceptionnels. La billetterie est ouverte ☺️ Voici le lien de la billetterie ☺️ https://my.weezevent.com/conference-ton-cerveau-decide-a-ta-place-michel-khoury
Les personnes trop gentilles. Celles qui pardonnent sans compter, qui donnent sans attendre, qui restent quand tout le monde part. Mais attention : leur gentillesse n’est pas de la faiblesse. C’est une force tranquille, rare, précieuse. Et quand on en abuse, quand on piétine leur cœur en pensant qu’elles resteront toujours… Elles s’éloignent. Silencieusement. Définitivement. Et ce jour-là, ce n’est pas elles que tu perds… C’est ton droit d’exister dans leur vie, et parfois même dans leurs souvenirs. Respecte-les. Apprécie-les. Car connaître leur valeur, c’est savoir les garder. Les perdre, c’est souvent irréversible.
Avancer malgré le bruit Il y aura toujours des voix pour douter, critiquer, juger. Certains projettent leurs peurs, d’autres leurs limites. Mais ces voix ne sont pas les vôtres. Ce qui vous guide vraiment, ce sont vos valeurs. Vos convictions profondes. Celles qui vous réveillent le matin et vous tiennent debout quand tout vacille. Ce sont elles qui tracent la route, même dans le silence ou l’incompréhension. Avancer, ce n’est pas plaire à tous. C’est rester fidèle à ce qui vous anime, même quand personne ne comprend. Ce n’est pas fuir le regard des autres, c’est choisir de ne pas s’y enfermer. Marchez droit, même seul. Car au bout du chemin, la paix ne vient pas des applaudissements, mais de l’alignement.
Voici 3 conseils à impact fort pour ta première journée : 1. Maîtrise ton langage corporel dès l’entrée ➜ Tiens-toi droit, regarde dans les yeux, souris légèrement. Les premières secondes fixent 80 % de l’impression qu’on gardera de toi. 2. Identifie rapidement les “personnes-clés” ➜ Repère qui influence l’équipe (pas seulement les managers) et crée un premier contact positif avec eux. Ça te positionnera directement au bon endroit dans la dynamique interne. 3. Apporte de la valeur tout de suite ➜ Partage une idée pertinente, propose ton aide, ou résous un petit problème dès le premier jour. Même une petite victoire te fera passer pour un atout immédiat. Bonne chance !
Mieux vaut être détesté pour son authenticité que célébré pour une vie importée. Parce qu’à force de vouloir plaire, on finit par s’oublier. À force de dire “oui” pour éviter les vagues, on se noie doucement dans le silence de soi-même. Mais à quoi bon être aimé pour un rôle qu’on joue mal, Quand on peut être respecté — ou détesté — pour ce que l’on est vraiment ? Dire non, ce n’est pas être dur. C’est être clair. C’est poser les premières pierres de sa liberté. Et parfois, c’est quand tu refuses de te plier aux attentes qu’on te découvre enfin. Pas comme un produit conforme, mais comme une âme vivante. Alors oui, choisis-toi. Même si ça dérange. Même si ça gratte. Parce qu’au bout du chemin, il y a peut-être moins de monde… Mais c’est là que tu retrouveras toi.